Vous avez peut être vu le film Avatar de James Cameron, (personnellement je l'ai vu mercredi soir en 3D et ça déchire ), mais le protagoniste Jake est un ancien Marine tétraplégique qui rejoint une colonie lointaine après un voyage de 5 ans. Une compagnie minière récupère un minerai très précieux. La population locale est un frein à l'exploitation et la compagnie a sa propre "milice privée" lourdement équipée composée d'anciens militaires, dont des vétérans des Marines. On voit clairement l'EGA sur le Tshirt de Jake au début du film. On parle bien de l'USMC tel que nous le connaissons actuellement, bien que le film se passe en 2150 ou quelque chose comme cela.
Bref, comme vous vous en doutez, la milice est pro-combat alors qu'une équipe de scientifiques tente de réconcilier humains et na-vis par l'intermédiaire d'avatars, commandés à distance par Jake et sa bande. Bref.
Le fait que les Marines soient aussi mal représentés ne plait pas du tout à l'USMC qui le fait savoir par l'intermédiaire de un porte parole dans un courrier envoyé au Marine Corps Times : Lien.
Courrier du Col. Bryan Salas, directeur des affaires publiques
Bref, comme vous vous en doutez, la milice est pro-combat alors qu'une équipe de scientifiques tente de réconcilier humains et na-vis par l'intermédiaire d'avatars, commandés à distance par Jake et sa bande. Bref.
Le fait que les Marines soient aussi mal représentés ne plait pas du tout à l'USMC qui le fait savoir par l'intermédiaire de un porte parole dans un courrier envoyé au Marine Corps Times : Lien.
Courrier du Col. Bryan Salas, directeur des affaires publiques
Lost amid the staggering commercial success of “Avatar” and obscured by the punditry of the left and right as they debate James Cameron’s social and historical commentary are the real warriors whose heroism, valor and selfless service has allowed the U.S. to leave a war in Iraq that many in 2006 thought was unwinnable and indeed salvage success from the jaws of calamity.
“Avatar” takes sophomoric shots at our military culture and uses the lore of the Marine Corps and over-the-top stereotyping of Marine warriors to set the context for the screenplay. This does a disservice to our Corps of Marines and the publics’ understanding of their Corps.
The Marine Corps embraces a warrior-scholar mentality and prides itself on understanding host country narratives and sensitivities in complex climes and places. Gen. James Mattis, whose catch-phrase is “no better friend, no worse enemy,” better captures the essence of Marines who helped usher in the Sunni Awakening in Anbar province than the cinemagraphically convenient colonel-turned-mercenary antagonist in “Avatar.”
Let’s view “Avatar” for what it is, a leap in the wizardry of cinema, a digital fantasy and a vehicle for a film-maker to make a statement, but not emblematic of the Marines who honorably fight and fall to win our nation’s real battles today.
Col. Bryan Salas director of public affairs
Headquarters Marine Corps